Mais, le 24 janvier 2008, Daniel Bouton s'aperçoit (sic) avec horreur que le magnifique logiciel était façonné "genre gruyère", comme tout ce qui vient du "géant à trou-trous".
- Microsoft ?
- François Montégu ?
- Daniel Bouton ?
Certainement pas le lampiste Jérôme Kerviel, dont les supérieurs se sont dit in petto: "Laissons le petit jouer, il gagne si souvent".
Microsoft a perduré, Daniel Bouton "remercié", François Montégu ignoré, Kerviel condamné, ... toujours en vertu des grands principes.
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