dimanche 16 décembre 2012

La voix de son maître


Le professeur Copé à toujours
 quelque-chose à dire,
     quelque-chose à dire,
          quelque-chose à dire...!

Qu'on lui décerne le pain au chocolat d'honneur.

mardi 30 octobre 2012

Il a le bras long

Il n'est pas manchot, OK.
Il fait le poids et a le bras long, OK.
(normal, c'est LUI le Président).

Mais quand exceptionnellement sa cravate est centrée, elle se gondole outrageusement, et sa manche droite dépasse de loin sa pensée.

De plus, son tailleur est manifestement ailleurs.




En vérité, je vous le dis, la relance c'est une autre paire de manches!

Cependant il représente la France, ici et à l'étranger.



C'est moi ou c'est mes yeux ?
Mais le militaire photographié au centre en arrière plan, semble se fendre la pêche au maximum.
Pourtant, s'il voit la manche de chemise qui pendouille, il ne voit pas la cravate atrocement torturée, ni le costard en tirebouchon.

Loin de vouloir lui "tailler un costard sur mesure", je me demande bien s'il n'aurait pas un responsable de ses tenues vestimentaires qui serait une horrible taupe de droite.

Au lieu de "twitter" mal à propos sur "Madame Ex", sa compagne devrait ouvrir l'oeil.


Méfies-toi François!

(honni soit qui mal y pense: entre socialistes, on se tutoie)

lundi 8 octobre 2012

Le "maitre à penser" à mettre à panser.

Médecin ?
La faculté le dit.

Neurologue ?
Je veux bien.

Mais psychanalyste, certainement pas.

Maître à penser, encore moins.



Le "très trop" médiatique Boris Cyrulnik souffre d'un syndrome postromantique, qui n'est pas une tare, mais le résultat d'un regrettable accident qui le disqualifie à jamais pour le rôle de Dieu le Père qu'il tente de jouer avec application.

Pourtant, tout psychanalyste digne de ce nom sait bien que sa parole est transformée par les médias en un dangereux boomerang.

Malgré tout, comme le génial professeur Roliin, Boris a toujours quelque chose à dire.
Mais il ne fait rire que lui, et plus souvent pleurer les autres.

jeudi 27 septembre 2012

Copé collé, ou Copé ... coulé ?




D'après le journal "Le Monde":



Je cite:
Jean-François Copé, candidat à la présidence de l'UMP, a anticipé la polémique : il dit lui-même vouloir "à dessein" "briser un tabou" en dénonçant l'existence d'un"racisme anti-Blancs" dans certains quartiers difficiles, dans son livre Manifeste pour une droite décomplexée (Fayard), dont Le Figaro Magazine, à paraître vendredi, publie des extraits.
M. Copé se défend de reprendre au FN cette expression empruntée à l'extrême droite, que d'autres membres de l'UMP n'adoptent pas. François Fillon, de son côté, préfère "apporter des réponses", alors que la gauche dénonce des propos"très graves".
Fin de citation.
Dérapage incontrôlé, mirage à droite, le rallye couru par Copé va tout droit vers la sortie de route.