C'est oublier que ces caméléons n'ont fait que reproduire le langage populaire, le mien comme le votre.
La véritable vulgarité est celle des journalistes, qui retoquent ou génèrent à tout va. Il ne s'agit plus de reproduire une quelconque langue parlée, mais de faire croire que certains termes grossiers sont du meilleur effet dans les salons littéraires.
Il s'agit de la pire des vulgarité: la démagogie.