lundi 8 octobre 2012

Le "maitre à penser" à mettre à panser.

Médecin ?
La faculté le dit.

Neurologue ?
Je veux bien.

Mais psychanalyste, certainement pas.

Maître à penser, encore moins.



Le "très trop" médiatique Boris Cyrulnik souffre d'un syndrome postromantique, qui n'est pas une tare, mais le résultat d'un regrettable accident qui le disqualifie à jamais pour le rôle de Dieu le Père qu'il tente de jouer avec application.

Pourtant, tout psychanalyste digne de ce nom sait bien que sa parole est transformée par les médias en un dangereux boomerang.

Malgré tout, comme le génial professeur Roliin, Boris a toujours quelque chose à dire.
Mais il ne fait rire que lui, et plus souvent pleurer les autres.

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